Hauteur de neige cumulée

2,53 m de hauteur de neige cumulée au col des Limites cet hiver 2008-2009.
Cette hauteur a été mesurée par un observateur habitant près du col qui tous les jours (parait-il) montait au col mesurer l'épaisseur de neige fraiche tombée.
Je ne le connais pas personnellement, mais j'essayerai de le rencontrer.

Une belle valeur si c'est fait "dans les règles" (la neige c'est un paramètre difficile à mesurer).
Le sud du massif a une fois encore bien reçu cette année.

Merci pour l'info et les précisions à venir.

Bonsoir,

Etant régulièrement à une portée de La Chaulme, sur le plateau du Livradois à 900m, orienté sur le versant Sud SO au dessus d'Ambert.
Cette année aura été marquée par des précipitations régulières de neige, depuis la fin octobre, pas beaucoup à chaque fois, mais pas début de dégel et fonte réelle que vers le 23 mars.

Neige poudreuse qui s'est bien infiltrée sous les toitures, sauf l'épisode du 14 décembre ou une grosse quantité est tombée en neige grasse qui a fait des dégâts dans les arbres, sapins qui ont perdus leur tête, idem pour les feuillus et arbres fruitiers qui n'étaient pas taillés.

La température est remontée depuis, et cela fait du bien.
La végétation reprend très vite le dessus.

Les abeilles ont peu de réserve en sortie de cet hiver il a fallut nourrir pour leur permettre de résister à d'éventuelles baisses soudaines des températures toujours possibles jusqu'à la mi mai.

Apiculteur63 a écrit:
Les abeilles ont peu de réserve en sortie de cet hiver il a fallut nourrir pour leur permettre de résister à d'éventuelles baisses soudaines des températures toujours possibles jusqu'à la mi mai.

Comment cela se traduit sur le terrain ? Quelles nourritures sont distribuées ?

bonjour,
concrètement ont vérifie lors d'une visite à la sortie de l'hiver que les abeilles sont en quantité suffisante, qu'il y a du couvain, la présence de la reine, etc, puis ont regarde les réserves de miel en périphérie des cadres de couvain, s'il en manque, le mieux à cette période est de leur donner un sirop directement assimilable, ou s'il nous reste des rayons avec du miel, du miel directement. Cet apport de nourriture à l'avantage de couvrir un éventuel manque, et une baisse de la nourriture si plusieurs périodes de froid reviennent avant la fin du mois de mai.

Il faut savoir qu'il y a un décalage entre les ruchers installés en plaine et en zone de montagne comme chez nous, et souvent entre deux versants, ce décalage de 10 à 15 jours sur les floraisons est à prendre en compte, y compris les zones de gelées tardives.

D'où mon intérêt pour la météo locale et les phénomènes particuliers que les abeilles relayent bien avant que cela arrive (orages).

Merci pour ce résumé.

Si une reine disparait, comment faîtes vous ?

Dans la dernière phrase vous parlez d'orages, cela signifie qu'elles ont un comportement différent lors de ce type de temps.