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Esquisse de la topographie médicale de Rive-de-Gier a écrit:On peut admettre que le vent du nord-est est le vent le plus fréquent ; vient ensuite le vent du sud qui est parfois extrêmement violent ; le nord prédomine au printemps, le sud en automne. La température moyenne de Lyon est de 12°5 ; Rive-de-Gier est plus élevé d'une centaine de mètres, ce qui correspond à une différence de 0°5, ou à une température moyenne de 12 degrés centigrades. Dans l'hiver on a souvent 15 degrés de froid, et dans l'été souvent 28 et 32 de chaleur ; en 1816 il y eut 28 degrés de chaleur à onze heures du soir. L'hiver le plus rigoureux a été observé en 1829, le thermomètre descendit à 19 ; les chaleurs les plus fortes appartiennent à l'année 1859 où le thermomètre est monté à + 36°c. Les pluies sont principalement amenées par les vents du sud et du sud-ouest, elles deviennent plus froides et à larges gouttes quand le vent tourne à l'ouest ou au nord-ouest. Dans nos contrées le mois le plus pluvieux est le mois de juin, ensuite avril et mai pour le printemps, octobre et novembre pour l'automne. Le nombre des jours pluvieux est plus considérable à Saint-Etienne qu'à Lyon et la quantité de pluie plus grande ; la pluie est plus abondante au pied occidental de la chaîne du Pilat que sur le revers opposé. Les grands orages sont plus fréquents à Rive-de-Gier et à Saint-Etienne qu'à Pelussin et au Bourg-Argental ; le Gier et le Furens dévastent plus souvent les vallons qu'ils parcourent que la Cance et la Diaume. On est porté à admettre que la moyenne des jours de pluie serait de 140 à 150 et la quantité de pluie de 0,75. Les brouillards sont assez rares, et s'ils surviennent, ils se dissipent toujours vers midi, et quelques heures d'un ciel serein leur succèdent.

Thoupie42 a écrit:J'écrivais il y a 3 jours sur Infoclimat "Les flux méridiens en provenance du Sud sont quant à eux plus aléatoires et capricieux et réservent leurs bonnes et mauvaises surprises en direct." Mise en application aujourd'hui avec par exemple cette belle (pour les hivernophiles/neigeophiles ) surprise neigeuse dans le bassin ponot. Une poche de précipitations est même remontée jusque sur la moitié Sud de la plaine du Forez déjouant toute logique.

Fig. 1 - p. 5 - Carte en relief du département de la Haute-Loire par H. MALÈGUE (Reproduction photographique par M. J. de Veyrac).
Fig. 2 - p. 9 - Carte de la Haute-Loire, par arrondissements et cantons. On a gardé, pour la commodité de l'étude des orages, l'ancienne division en trois arrondissements, Le Puy, Brioude, Yssingeaux.
Fig. 3 - p. 15 - Répartition dans les différents mois de l'année du nombre de jours d'orage observés dans le département de la Haute-Loire, celui-ci ayant une superficie de 492.446 hectares et pouvant être représenté pour la commodité des comparaisons par un cercle de 80 kilomètres de diamètre en chiffres ronds.
Fig. 4 - p. 20 - Répartition dans les différents mois de l'année du nombre moyen de jours d'orage observés en une même station, de la Haute-Loire, Le Puy.
Fig. 5 - p. 22 - Courbes d'égale fréquence des nombres de jours d'orage en France. Les localités portées sur cette carte sont celles dont on a calculé le nombre de jours d'orage et qui ont servi au tracé des courbes. Les nombres inscrits au-dessus de certaines localités sont les résultats des séries d'observation les plus longues et les plus sûres.
Fig. 6 - p. 31 - Répartition dans la journée de la fréquence des orages dans le département. C'est dans l'intervalle de 15 à 18 heures que les orages sont le plus souvent observés.
Fig. 7 - p. 37 - Situation du 22 décembre 1925 à 7 h. Orage par dépression.
Fig. 8 - p. 38 - Courbe de la température au Puy, du 18 au 23 décembre 1925, montrant le réchauffement subit occasionné par l'arrivée de vent de Sud, la différence d'allure de la courbe, lorsque le vent de Sud-Ouest commence à apparaître et le refroidissement brusque lorsque le vent d'Ouest se substitue au vent des régions Sud.
Fig. 9 - p. 39 - Situation barométrique du 14 avril 1928 à 7 heures. Dépression avec isobares en pointe ou en V : grain orageux.
Fig. 10 - p. 40 - Isobares en forme de V.
Fig. 11 - p. 42 - Particularités du grain orageux du 14 avril 1928. Au point A sont représentés les changements subits de la direction et de la vitesse du vent, de la pression barométrique et de la température.
Fig. 12 - p. 43 - Situation barométrique du 20 avril 1925 à 18 h., montrant que les orages peuvent se former dans la partie Nord des dépressions barométriques.
Fig. 13 - p. 45 - Situation barométrique du 15 août 1928 à 7 heures. Les 2 courbes ou isobares marquées en traits plus épais dessinent une sorte de couloir à l'intérieur duquel les orages sont fréquents et souvent néfastes.
Fig. 14 - p. 46 - A gauche anticyclone coupé en deux par un couloir de pression plus basse (9 août 1923) ; à droite, l'anticyclone reconstitué le lendemain 10 août.
Fig. 15 - p. 48 - Situation barométrique le 28 mai 1929 : à gauche, à 7 h. du matin ; à droite, à 18 h. Pression uniforme.
Fig. 16 - p. 50 - Situation barométrique le 20 juin 1929 à 18 h. Anticyclone sur l'Atlantique.
Fig. 17 - p. 51 - Situation barométrique le 31 mai 1925. Anticyclone sur la France.
Fig. 18 - p. 57 - [non légendée]
Fig. 19 - p. 58 - Formation du nuage orageux ou cumulo-nimbus sous la poussée de l'air froid chassant devant lui l'air chaud et humide. L'effet est exagéré si l'air chaud et humide est coincé entre un massif montagneux et l'air froid qui progresse vers lui.
Fig. 20 - p. 60 - Courbe de la température au Puy, du 1er au 5 novembre 1916. Production d'orage au moment où le vent chaud de Sud est remplacé par un vent frais ou froid de Sud-Ouest à Nord-Ouest.
Fig. 21 - p. 63 - Arrivée d'une vague d'air froid occasionnant des orages. Le déplacement de l'isotherme de 0° indique la progression du froid.
Fig. 22 - p. 65 - Décroissance de la température dans la hauteur. Les températures sont portées sur une ligne horizontale et les hauteurs sur une ligne verticale.
Fig. 23 - p. 69 - Courbes d'égale température ou isothermes moyennes pour la France (par Angot). Mois d'août.
Fig. 24 - p. 72 - Influence du relief sur la décroissance de la température dans la hauteur et la formation des nuages orageux.
Fig. 25 - p. 75 - Département de la Haute-Loire avec courbes de niveau de 200 en 200 mètres. En bas et à gauche, la Margeride ; entre l'Allier et la Loire, la chaîne des monts du Velay orientée du Sud-Sud-Est au Nord-Nord-Ouest ; à droite, le massif du Mézenc et la chaîne du Meygal. En haut et à gauche, la plaine de Brioude ; en haut et à droite, la plaine de Bas ; au centre le bassin du Puy et celui de l'Emblavès.
Fig. 26 - p. 82 - Le nuage orageux d'après Simpson. Lignes de courant de l'air (en traits pleins) ; trajectoire de la pluie (en traits interrompus).
Fig. 27 - p. 83 - Le nuage orageux d'après Simpson. Répartition des charges électriques dans le nuage.
Fig. 28 - p. 93 - La succession des précipitations dans un orage d'hiver dans la Haute-Loire.
Fig. 29 - p. 100 - Particularités des trajectoires des orages occasionnés par l'arrivée d'un front froid rectiligne.
Fig. 30 - p. 101 - Figure montrant la différence entre la direction de progression des orages et la direction de propagation d'un mouvement orageux, sous l'effet de masses d'air froid venant de l'Ouest et atteignant le département de la Haute-Loire. Chaque indentation, 1, 2, 3, 4, provoque des orages progressant d'Ouest vers l'Est, et les arrivées successives de ces indentations dans la Haute-Loire propagent le mouvement orageux de Sud vers Nord.
Fig. 31 - p. 102 - Dédoublement continu d'un orage. On a représenté ici le nuage orageux sous la forme d'un nuage isolé. Il faut se figurer en réalité l'orage comme produit au sein d'une masse nuageuse beaucoup plus étendue.
Fig. 32 - p. 120 - Quelques groupements de communes dans la Haute-Loire où la grêle a causé des dégâts au cours d'un même orage.
Fig. 33 - p. 125 - Communes du département de la Haute-Loire le plus souvent atteintes par la grêle, avec dégâts, pendant les 19 années 1912 à 1930.
Fig. 34 - p. 140 - Type de ferme dans la Haute-Loire. A gauche, rampe d'accès à la grange : au-dessous de la grange, l'écurie ; à droite, l'habitation. La façade regarde généralement le midi. Lorsque les dispositions locales n'interviennent pas (accès par une route, situation au bord d'une route, proximité d'un étang, d'un bois, etc...), il semble que l'habitation est plus fréquemment aménagée à l'Est, et l'écurie à l'Ouest, afin de préserver les occupants des vents froids du Nord-Ouest. (Photographie de Veyrac).
Fig. 35 - p. 149 - Panorama de la ville du Puy (Nord-Ouest). Rocher Saint-Michel à gauche ; rocher Corneille surmonté de la statue de N.-D. de France.
Fig. 36 - p. 151 - Chute de foudre sur une ligne téléphonique, près de Mondon (commune d'Espaly-Saint-Marcel). Le sillon formé par l'enlèvement de lamelles de bois, part de la ferrure d'un des isolateurs, et descend en spirale en suivant les fibres du bois. (Photographie de Veyrac).
Fig. 37 - p. 158 - Chute de foudre sur un pin à la Pépinière, près Le Puy. Enlèvement d'écorce à la partie inférieure du tronc. (Photographie de Veyrac).
Fig. 38 - p. 159 - Chêne coupé par la foudre en deux moitiés égales dont l'une est restée debout. Les côtes de Fareyrolles, commune de Sanssac-l'Eglise, le 5 août 1913. Cliché de M. A. Baldit.
Fig. 39 - p. 184 - Elévation, coupe et plan de la ferme, située à Aunas, commune de Chamalières, où M. Dodet a été tué par la foudre le 26 mai 1929. La trajectoire de la foudre est la suivante : ligne extérieure de lumière s'arrêtant à ce moment à la console scellée sur la façade, chéneau du toit, lampe extérieure placée au-dessus de la porte de la grange ; circuit de cette lampe, interrupteur, corps de M. Dodet, sol humide.
Fig. 40 - p. 212 - Carte indiquant les communes de la Haute-Loire le plus souvent atteintes par des chutes de foudre graves : incendies, pertes d'animaux, accidents mortels, dans les 15 années 1912-1914 et 1919-1930.

Tableau 1 - p. 14 - Nombre de jours d'orage par mois dans le département de la Haute-Loire. 15 années (1912 à 1914, 1919 à 1930).
Tableau 2 - p. 16 - Nombre de jours d'orages ayant atteint : les 3 arrondissements à la fois ; 2 arrondissements à la fois ; un seul arrondissement (15 années).
Tableau 3 - p. 17 - Répartition entre les 3 arrondissements des jours d'orage n'ayant atteint qu'un seul arrondissement
Tableau 4 - p. 19 - Nombre de jours d'orage par mois au Puy. 15 années (1912 à 1914 et 1919 à 1930).
Tableau 5 - p. 21 - Nombre de jours d'orage par saison au Puy. 15 années.
Tableau 6 - p. 25 - Nombre de jours d'orage dans le département de la Haute-Loire, par périodes de 5 jours, et pour 15 années.
Tableau 7 - pp. 28-29 - Nombre de séries de jours d'orage consécutifs observés dans la Haute-Loire (15 années).
Tableau 8 - p. 30 - Répartition des orages aux différentes heures de la journée. Nombre de fois pour 1000 qu'un orage a été observé entre 0 t 3 h., 3 et 6 h., etc... (15 années).
Tableau 9 - pp. 32-33 - Nombre d'orages par mois débutant entre 0 et 3 h., 3 et 6 h., 6 et 9 h., etc... (15 années).
Tableau 10 - p. 33 - Nombre d'orages par saison débutant entre 0 et 3 h., 3 et 6 h., 6 et 9 h., etc... (15 années).
Tableau 11 - p. 52 - Nombre de jours d'orage par situation barométrique (15 années).
Tableau 12 - p. 53 - Nombre d'orages débutant entre 0 et 3 h., 3 et 6 h., 6 et 9 h., etc... suivant la situation barométrique régnante (15 années).
Tableau 13 - p. 54 - Nombre de jours d'orage dans chaque série de 2 jours, de 3 jours... de 9 jours, appartenant aux différentes situations barométriques (15 années).
Tableau 14 - p. 61 - Température au moment où éclatent les orages d'hiver dans la Haute-Loire.
Tableau 15 - p. 109 - Nombre de jours avec chutes de grêle au Puy. (15 années).
Tableau 16 - p. 109 - Le nombre de jours de grêle au Puy et les orages. (15 années).
Tableau 17 - p. 110 - Répartition des jours de grêle pendant l'année au Puy (15 années).
Tableau 18 - p. 112 - Répartition dans l'année des jours de grêle observés dans le département de la Haute-Loire (15 années).
Tableau 19 - p. 112 - Variation pendant l'année du rapport du nombre de jours de grêle au nombre de jours d'orage (15 années).
Tableau 20 - p. 114 - Répartition des chutes de grêle dans la Haute-Loire, suivant les heures de la journée. Fréquence pour 1000 (15 années).
Tableau 21 - p. 116 - Montant annuel des dégâts causés par les orages à grêle dans la Haute-Loire.
Tableau 22 - p. 117 - Répartition dans l'année des jours de grêle avec dégâts observés dans la Haute-Loire (15 années).
Tableau 23 - p. 118 - Orages à grêle les plus violents de 1912 à 1930 (en exceptant les années 1915 à 1918).
Tableau 24 - p. 134 - Journées d'orage, et journées d'orage avec chutes de foudre signalées (15 années).
Tableau 25 - p. 135 - Nombre de chutes de foudre de toutes les catégories signalées dans le département de la Haute-Loire (15 années).
Tableau 26 - pp. 208-209 - Nombre de chutes de foudre par canton.

seon42 a écrit:Je mettrai la table des matières en ligne prochainement.

Michel Gagnard a écrit:Ils sont en m3 par quoi ces débits ?
M3 par jour je suppose ?

seon42 a écrit:

Michel Gagnard a écrit:Ils sont en m3 par quoi ces débits ?
M3 par jour je suppose ?

Je n'ai fait que transcrire fidèlement les articles Mouvement des eaux. Je sais bien qu'un débit c'est par unité de temps. Je suppose comme toi, d'ailleurs les articles commencent par : Voici le volume des eaux d'alimentation pour la journée du.